La fièvre hémorragique à virus ébola: une bombe à fragmentation à l’échelle planétaire.

Article : La fièvre hémorragique à virus ébola: une bombe à fragmentation à l’échelle planétaire.
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27 octobre 2014

La fièvre hémorragique à virus ébola: une bombe à fragmentation à l’échelle planétaire.

les victimes d'ébola
les victimes d’ébola

Sans cynisme ou sadisme aucun, le monde l’apprendra à ses dépends, on n’arrête pas la mer avec les bras au risque de boire aujourd’hui le calice de l’ébola jusqu’à la lie. IL faut se l’avouer le rythme de mobilisation internationale ne suit pas le rythme effrené de propagation de l’épidémie, loin s’en faut. (Même si les lignes commencent à bouger maintenant)

Au delà de la tentation de repli sur soi (la fermeture des frontières) comme si isoler les pays affectés isolerait le virus ébola ou du sacro-saint principe de précaution (le renforcement des contrôles sanitaires aux aéroports), le risque zéro n’existe pas. Aucun continent, aucun pays pour développé qu’il soit n’est à l’abri ou immunisé contre le virus ébola et c’est peu que de le dire.

Du chiffre record de victimes ( plus de 4000 morts) aux cas avérés et aux fausses alertes en occident , en passant  par la menace de contamination  sur le HADJ  et un potentiel report de la CAN 2015 ( coupe d’Afrique des Nations), le vent de la psychose de l’ébola souffle sous toutes les latitudes.

L’OMS le dit non sans raison, la fièvre hémorragique à virus ébola est une urgence de portée mondiale. Le virus ébola pourrait faire figure de bio-térrorisme à la lumière de la terreur et de la hantise qu’il suscite (même si pour ce cas d’espèce la terreur n’est pas orchestrée délibéremment par l’homme).

Espérons que l’onde de peur voire de panique généralisée soit un aiguillon puissant dans la mobilisation internationale pour parvenir à bout de cette ménace planétaire.

 

hui le calice de l’ébola jusqu’à la lie. IL faut se l’avouer le rythme de mobilisation internationale ne suit pas le rythme effrené de propagation de l’épidémie, loin s’en faut. (Même si les lignes commencent à bouger maintenant)

Au delà de la tentation de repli sur soi (la fermeture des frontières) comme si isoler les pays affectés isolerait le virus ébola ou du sacro-saint principe de précaution (le renforcement des contrôles sanitaires aux aéroports), le risque zéro n’existe pas. Aucun continent, aucun pays pour développé qu’il soit n’est à l’abri ou immunisé contre le virus ébola et c’est peu que de le dire.

Du chiffre record de victimes ( plus de 4000 morts) aux cas avérés et aux fausses alertes en occident , en passant  par la menace de contamination  sur le HADJ  et un potentiel report de la CAN 2015 ( coupe d’Afrique des Nations), le vent de la psychose de l’ébola souffle sous toutes les latitudes.

L’OMS le dit non sans raison, la fièvre hémorragique à virus ébola est une urgence de portée mondiale. Le virus ébola pourrait faire figure de bio-térrorisme à la lumière de la terreur et de la hantise qu’il suscite (même si pour ce cas d’espèce la terreur n’est pas orchestrée délibéremment par l’homme).

Espérons que l’onde de peur voire de panique généralisée soit un aiguillon puissant dans la mobilisation internationale pour parvenir à bout de cette ménace planétaire.

 

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Commentaires

Aboudramane koné
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Félicitations